At CDC, the Division of Healthcare Quality Promotion (DHQP) conducts and funds research and innovation designed to address HAIs and AR that are potentially preventable but lie beyond the reach of current prevention strategies. This report is intended to help investigators, funders, state and local health departments, and patient advocates understand key priority research questions for health care.
The prevention of healthcare-associated infections (HAIs) and antimicrobial-resistant (AR) infections is a mixed story of progress and setbacks with a long path ahead. Until 2019 there was progress from earlier in the decade in reducing several device- and procedure-related HAIs, including central line-associated bloodstream infections (CLABSIs), catheter-associated urinary tract infections (CAUTIs), and major surgical site infections, all of which are important causes of patient harm, including sepsis, and death. In addition, from 2012 through 2017 there were decreases in five of seven HAI-associated antimicrobial-resistant bacterial pathogens; however, from 2017-2019, progress in the declines of three of these pathogens stalled. Moreover, beginning in 2020, and continuing in 2021, there was a reversal in progress with Covid-19-related increases in CLABSIs, CAUTIs, and methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA) bacteremia events. There were also increases in six of the seven HAI-associated antimicrobial-resistant bacterial pathogens. In addition, the Covid-19 pandemic severely threatened the safety and well-being of healthcare personnel in ways never witnessed previously. Finally, the Covid-19 pandemic highlighted longstanding public health and infection-related disparities. While disparities in HAI and associated AR, and healthcare personnel safety, are known to exist, they are woefully under-studied and remain largely unaddressed.
https://www.cdc.gov/healthcare-associated-infections/media/pdfs/DHQPs-Research-Questions-508.pdf
Au CDC, la division de la promotion de la qualité des soins de santé (DHQP) mène et finance des recherches et des innovations destinées à lutter contre les IAS et les EI qui sont potentiellement évitables, mais qui sont hors de portée des stratégies de prévention actuelles. Ce rapport a pour but d’aider les chercheurs, les investisseurs, les services de santé locaux et d’État et les défenseurs des patients à comprendre les principales questions de recherche prioritaires en matière de soins de santé.
La prévention des infections associées aux soins (IAS) et des infections résistantes aux antimicrobiens (RA) a une histoire, faite de progrès et de reculs, et le chemin à parcourir est encore long. Jusqu’en 2019, des progrès ont été réalisés au début de la décennie dans la réduction de plusieurs IAS liées à des dispositifs et à des procédures, notamment les infections sanguines associées aux cathéters centraux, les infections urinaires associées aux cathéters et les infections majeures du site opératoire, qui sont toutes des causes importantes de préjudice pour les patients, notamment de sepsis, et de décès. En outre, de 2012 à 2017, l’incidence de cinq des sept agents pathogènes bactériens résistants aux antimicrobiens associés aux IAS a diminué ; toutefois, de 2017 à 2019, la diminution de l’incidence de trois de ces agents pathogènes s’est arrêtée. En outre, à partir de 2020 et jusqu’en 2021, les progrès ont été inversés en raison de l’augmentation des bactériémies liées au Covid-19, des infections nosocomiales et des bactériémies à Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM). On a également observé une augmentation de l’incidence de six des sept pathogènes bactériens résistants aux antimicrobiens associés aux IAS. En outre, la pandémie de Covid-19 a menacé la sécurité et le bien-être du personnel de santé comme jamais auparavant. Enfin, la pandémie de Covid-19 a mis en évidence des disparités de longue date en matière de santé publique et d’infections. Si l’on sait qu’il existe des disparités en matière d’infections nosocomiales et d’EI associées, ainsi que de sécurité du personnel de santé, elles sont malheureusement sous-étudiées et restent en grande partie sans réponse.(Traduction DeepL)