La gravité du risque de contamination chez les soignants par exposition à un sang infecté par le VIH a incité les autorités sanitaires à compléter les dispositions légales et les recommandations aux acteurs de santé. La chimioprophylaxie par l'AZT, avec des incertitudes quant à sa réelle efficacité, fait maintenant l'objet d'une recommandation ministérielle.