Le risque déutilisation de bactéries, de virus ou de toxines à des fins de terrorisme est pris en compte depuis plusieurs décennies mais plus encore depuis les cas de charbon pulmonaire enregistrés aux États-Unis en octobre 2001 aprés la dissémination volontaire de spores de charbon dans du courrier. Les pays européens ont pu gérer ce risque grâce aux plans interministériels de prévention. Le renforcement des mesures d’hygiéne et de biosécurité sur le lieu déintervention, dans les laboratoires et dans les établissements de soins est un élément essentiel dans la lutte contre ces actes de terrorisme.